Et est déjà très vieille.


Non, pas miss France.

Elle m'a accompagné dans mes visites de vide-greniers depuis près de vingt ans.
Vous voyez maintenant que ça ne peut pas être miss France.



Ma vieille veste.
Toujours fidèle,
plein de poches pour fourrer
papiers,
porte-monnaie,
téléphone,
carnets,
clés,
sachets,
petits achats.
Se lavait sans problème en machine.

Mais tout a une fin.
Ça faisait quelques années qu'elle montrait des signes de fatigue.
Elle commençait à s'effilocher d'un peu partout,
aux manches, aux poches.
Mais dernièrement en marchant, j'ai entendu  "PLOC ! ".
le porte-monnaie avait traversé la poche trouée (ça je le savais déjà)
mais également la doublure trouée (ce que j'ignorais).
Je lui ai encore donné une chance.
J'ai rafistolé la poche et la doublure avec une agrafeuse.
Mais rapidement, de nouveau, " PLOC ! ".
Mon rafistolage n'avait pas tenu.
Là c'est trop risqué de continuer à la porter.










Va falloir la jeter.
:-(

J'avais déjà eu un problème semblable avec mes tennis.
http://bludog.over-blog.com/article-15182668.html
Jamais je n'ai retrouvé le confort et l'élégance de ces chaussures.
Je vais avoir du mal à retrouver une veste aussi pratique.

 



Du moins l'un de ses employés zélés.


J'avais écrit à Bertrand Delanoë
au sujet d'une question que je me posais depuis lontemps.
http://bludog.over-blog.com/article-io-87131383.html

Voici le message
(ça en devient une lettre ouverte...)
que je lui avais envoyé le 25 octobre dernier:

-----
Bonjour Monsieur le Maire
Vous ne pourrez peut-être pas répondre à ma question,
mais certainement pourrez-vous la transmettre
aux services compétents.
Voilà.
Je ne suis qu'un provincial qui vient parfois à Paris
simplement parce que j'aime bien me promener
dans les différents arrondissements de cette ville.
Et au cours de mes promenades, depuis longtemps,
je suis intrigué par vos plaques de numérotation des immeubles.
Alors, simplement mes questions.
1) En tant qu'ancien typographe,
j'ai l'impression que vous ne vous servez jamais du chiffre 1 mais de la lettre i majuscule.
Est-ce le cas et si oui, pourquoi ?
2) La plupart de ces plaques semblent provenir du même fabricant.
Ces plaques sont-elles fournies par la municipalité
et peut-être même apposées par elle peut-être dans un souci d'harmonie ?
Voilà.
Ce sont deux questions bien futiles, mais elles m'intriguent depuis longtemps.
Merci d'avance pour votre réponse.
Bonne journée.
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En me relisant je me rends compte
que je ne devais pas encore être bien réveillé ce matin-là.
Avec un peu de chance ils n'étaient pas non plus bien réveillés à la Mairie de Paris.

Mais malgré tout...

J'ai obtenu une réponse !!!

Ça aura mis un mois,
mais je comprends très bien que les services compétents
aient eu autre chose à faire qu'à s'occuper de mon problème.

Voici donc la réponse.


Mais je continue à rester dubitatif.
Pour les plaques de rues récentes,
pas de doute, c'est bien un 1 (un).


Mais en ce qui concerne les plaques parisiennes de numérotation d'immeuble.
Je ne sais pas.



Si on les compare avec une plaque récente,
malgré le flou de la photo
(je n'en ai pas trouvé d'autre dans mes archives),



même un oeil non exercé doit voir la différence, non ?

Ce sont peut-être des plaques datant d'avant 1982 qui m'avaient intrigué.
Il doit quand même en rester
un très grand nombre apposées aux immeubles parisiens.
Ça doit vivre beaucoup plus de 30 ans une plaque émaillée.
Si un jour je repasse à Paris
je vais essayer de trouver des plaques plus récentes pour les étudier.

Quelle vie de dingue il mène ce B[LUDO]G...
Si un jour vous voyez un type se promener le nez en l'air à Paris
en observant des plaques de numérotation d'immeuble,
pas de doute, ce sera lui.

Mais je tiens quand même à remercier le Cabinet du Maire,
même s'ils ne verront jamais ce remerciement,
d'avoir pris la peine de me répondre.
C'est très sympa de leur part.

 



Placement de P.


Je suis mal placé pour répondre à ma question.
Mais je suis bien placé pour la poser.

À la télé je regarde surtout films et musique,
presque toujours en décalé après avoir enregistré les émissions.
L'exception qui confirme la règle,
Télématin dont je consomme chaque jour la première demi-heure.
Vous verrez plus bas pourquoi je signale ce fait.
Pratiquement jamais de téléfilm ou de série.
La dernière série que j'ai dû regarder en direct lors de sa diffusion
c'était la saison 3 de "Fais pas ci, fais pas ça".
Donc il y a juste un an.
Et à l'époque il n'y avait pas encore l'incrustation
qui dernièrement, en regardant la saison 4 de cette série, m'a interpellé.


" Ce programme comporte du placement de produit "
avec un P dans un cercle.
Elle existe depuis longtemps cette signalétique ?
(C'est ma question).
Je suis bien sûr au courant de l'existence
du placement de produits dans les fictions télévisées.
Je suis également au courant que c'est nouvellement réglementé.
C'est toujours mieux que si ça se faisait de manière clandestine.
Mais j'ai du mal à comprendre
l'incrustation d'une minute au début de l'émission
puis de nouveau à la fin de l'émission.
Déjà tous ceux qui ont raté le début de la fiction ne l'auront pas vue.
Et ceux qui l'auront vue, je ne pense pas
qu'ils s'en rappelleront ou que ça les dérangera
lorsqu'ils verront une boîte de Banania ou un portable HP
dans une scène de l'action.

Donc, comme je le disais plus haut,
sur le principe de la réglementation, d'accord.

Mais maintenant il va falloir que monsieur France 2 m'explique une chose.
Pourquoi du début de l'été au début de l'automne
j'avais droit tous les jours à 6h25, juste avant Télématin
à la diffusion d'un même clip
dont je n'ai jamais pu me rappeler le nom de l'artiste.
Faut dire aussi que je n'étais pas très attentif avec un seul oeil réveillé.
Et depuis début octobre c'est reparti avec Isabelle Boulay
dont j'ignorais jusqu'à présent l'existence,
ce que j'aurais très bien pu continuer de faire,
et qui tous les matins à 6h25 me fait hérisser les poils.
Peut-être sont-ce deux clips diffusés alternativement,
la chanson étant tellement fade
qu'il est impossible de s'en rappeler le lendemain même avec ce matraquage.
C'est du clip raccourci qui dure une minute et demi.
Et là aucune indication de placement de produit,
aucune indication de publicité.
À la fin on indique juste
" En partenariat avec France 2 ".


France 2 ne diffuse certainement pas chaque jour à la même heure
le même clip gratuitement.
Ou, s'il n'y a pas échange de monnaie,
il doit au moins y avoir échange de services.
Ou d'avantages quelconques.
Et ça ça ne semble déranger personne.

Les sages du CSA doivent encore dormir à cette heure matinale.
Ou alors cette forme de matraquage est autorisée sur le service public.
Ce qui est encore plus grave que le sommeil des membres du CSA.

 



Suppr.


C'est quand même inquiétant.

Deux des principaux dirigeants de
" Europe Écologie Les Verts "
(non, ce n'est pas le nom d'un bateau qui participe à la Route du rhum)
ont employé en l'espace de 24 heures les mots
"blanc correcteur" et "blanco"
pour évoquer la suppression des passages d'un texte.

Ils n'en sont quand même pas réduits pour améliorer leur bilan carbone
à utiliser des machines à écrire ?
Mécaniques ?

Si ça se trouve ils tapent leurs stencils communiqués de presse à la bougie.
Pourvu que Bertrand Delanoë
ne s'attaque plus aux pigeons qui encrottent sa ville.
Ce sont peut-être des messagers d'EELV.

 


Mais là on vient de franchir un nouveau cap.


J'en ai déjà parlé ici, et je n'avais pas l'intention de recommencer.
Et pourtant...
Une fois de plus en me réveillant ce matin j'ai eu droit au traditionnel

" Vous aurez dormi une heure de plus ".

Ce qui n'est vrai que pour les gens qui règlent leur réveil pour se lever
et qui ne se couchent pas plus tard que d'habitude.
De loin pas la majorité des auditeurs, je pense.
Peut-être est-ce valable pour la journaliste à la voix charmante
qui m'a asséné cette "vérité" à mon réveil.
Et elle a encore ajouté

" Vous aurez une heure de soleil en moins ".

Alors là, bravo.
De samedi à dimanche on a perdu "une heure de soleil" (sic).
Plus fort que David Copperfield.
Par contre elle n'a pas eu l'intelligence
d'expliquer s'il fallait avancer ou reculer nos pendules.

On ne peut pas tout savoir.